Ces travaux s’inscrivent dans un environnement et ils y développent un réseau d’interdépendance. Ces oeuvres sont donc IN SITU et interagissent avec leur environnement au-delà de la simple perception visuelle. La place du regardeur comme son absence sont pensées. Elles critiquent généralement les conceptions : « naturaliste » (nature sans homme), « impériale » (homme domine la nature) ou arcadienne (harmonie Homme-nature) et encouragent l’erreur, la curiosité, la fragilité.
Dans ces écosystèmes, certains objets (oeuvres) et actions (travaux) bouleversent, révèlent, amplifient, donnent à voir… Des interdépendances sont reproductibles. À chacune de ces répétitions qui arrachent un objet de ses réseaux, elles impulsent des nouveaux liens et parfois créent la surprise.